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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 12:27
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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 11:05

 

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:51
Pas de regrets, mon cul, ouais !  Il y a plein de choses que je regrette, que je regrette de regretter, que je regrette à regrets, que je regrette d'avoir loupé ou laissé filer, que je regrette doucement, amèrement, avec amertume et acidité, avec aigreur et sans volupté. Des tonnes de regrets, des paquets de remords. Mais c'est quoi donc la différence entre les deux, me direz-vous ?
 
Le regret concerne une action passée qu'on a faite et qu'on aurait pas dû faire. Le remord consiste à regretter une action qu'on a pas faite mais qu'on aurait dû (ou pu) faire. Dans les deux cas c'est trop tard, tu l'as dans le cul mon connard ! Capito ?
 
On a beau savoir, on a beau comprendre, on ne peut s'empêcher de trimballer ces casseroles surtout dans les relations humaines qu'on a développé (ou pas justement). Regret d'avoir cru en cet amour, regret de s'être livré à ce point, abandonné à ce paroxysme spasmodique. Regret d'avoir rencontré untel, d'avoir partagé ceci avec lui ou elle, de lui avoir donner sa confiance et le fruit de vos entrailles. Regret de manquer de temps, de n'avoir pas su l'aimer, de ne pas être aimé comme on l'aimerait. Regret d'avoir croisé un jour son chemin. Regret de vivre ce que l'on vit et de ne pas vivre ce qu'on ne vit pas. Remord ou regret, on s'en tape ; dans les deux cas, on a les boules et on ça nous happe...
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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:34

Macadam Cowboy (Midnight Cowboy) est un film américain de John Schlesinger sorti en 1969. Il obtient l'Oscar du meilleur film 1970.

Joe Buck, beau et fringuant cow-boy, quitte son Texas natal pour s'établir à New York dans le but de mener une carrière de gigolo. Mais sa déconvenue est rapide et il se retrouve à court d'argent. Dans un bar, il rencontre Ratso Rizzo, un paumé vérolé, tuberculeux et drogué, qui commence par l'escroquer en lui promettant de lui trouver de riches clientes. Mais rien ne vient si ce n'est un homosexuel voyeur et pervers. Ratso, pris de remords et souffrant de solitude, propose alors à Joe de faire équipe avec lui. Et une forme d'amitié naît entre ces deux marginaux que tout sépare. Ils n'auront désormais qu'un seul rêve : partir au soleil de la Floride.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:17

Jennifer Charles, née le 15 novembre 1968, à Washington, est une chanteuse et compositeur américaine, connue pour son image sensuelle et ses interprétations sensibles de sa voix chaude et veloutée, comme pour ses chansons poétiques. Avec son ami Oren Bloedow, elle a fondé le groupe Elysian Fields.

 

La musique est présente tout au long de la vie de Jennifer Charles. Sa mère était chanteuse dans les clubs de Washington, et son père était propriétaire d’une radio spécialisée dans le jazz. Elle étudie le théâtre, et joue dans des pièces d’avant-garde, tout en gardant une passion pour la musique.

 

Tout en étudiant (elle est diplômée de l’université de New York), elle pratique divers métiers : modèle, serveuse, chanteuse de jazz.

 

 

 

 

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:05

Lhasa de Sela (née le 27 septembre 1972 à Big Indian, État de New-York, morte le 1er janvier 2010 à Montréa), plus connue sous le nom de scène Lhasa, est une chanteuse américano-mexicaine ayant vécu au Québec (Canada). Elle chantait d'une voix grave et profonde et dans trois langues : anglais, français et espagnol. Sa musique est inspirée par différents grands courants musicaux comme la musique mexicaine, gitane, folk américain, la chanson française , la soul et le rock.

 

Décrite comme une « âme bouillonnante, femme d'instinct et tête chercheuse », son disque La Llorona lancé en 1998 « a changé le visage de la chanson immigrante du Québec ».

Lhasa est la fille du Mexicain Alejandro Sela et de l'Américaine Alexandra Karam, qui est d'origine mixte russo-polonaise de confession juive par sa mère et libanaise par son père (Karam). Son père est écrivain et professeur d'espagnol tandis que sa mère est photographe. Pendant son enfance, elle sillonne les États-Unis et le Mexique à bord d’un bus en compagnie de ses parents hippies et de ses neuf sœurs et frères (Gabriela, Samantha, Ayin, Sky, Miriam, Alex, Ben, Mischa et Eden : trois sœurs directes, trois demi-sœurs et trois demi-frères). À l’âge de 13 ans, Lhasa commence à chanter du jazz dans un café grec de San Francisco.

 

À 18 ans, elle étudie la culture de la Grèce antique au St. John's College de Santa Fe, un programme qu'elle abandonne en mars 1991. Elle débarque à Montréal, d'abord « pour rendre visite à ses sœurs qui étudiaient à l'École nationale de cirque ». La jeune femme au crâne rasé décide finalement de rester et réside avec ses soeurs dans un petit quatre et demi, rue Clark dans le Plateau Mont-Royal. Elle travaille comme serveuse à la Maison de la culture mondiale du boulevard Saint-Laurent et se produit sur scène le soir, interprétant des chansons de Billie Holiday et de la ranchera mexicaine Chavela Vargas. C'est dans la métropole québécoise qu'elle fait une rencontre déterminante, celle d'Yves Desrosiers, avec qui elle crée son premier album en 1997. Repérés par Denis Wolff, alors directeur artistique pour la maison de disques indépendante Audiogram, le résultat de leur collaboration produira La Llorona, qui connaîtra un succès mondial.

 

Selon le site web officiel de l'artiste, La Llorona évoque une « Amérique latine à la fois réelle et imaginaire, née de la mémoire d’une enfance itinérante ». Le site ajoute que l'album n'aurait « sans doute pas pu voir le jour ailleurs qu'à Montréal », où il a été écrit, en plein cœur de l'hiver. Dans une entrevue qu'elle accorde au magazine québécois à grand tirage L'actualité, elle confie au journaliste Luc Chartrand : « Plus le temps passe, plus je découvre des choses à aimer ici. J'ai une très grande affection pour le Québec. C'est... [silence] ici que j'ai connu ce qui se rapproche le plus du sentiment d'avoir un pays. »

L’album, qui « avait révélé des rythmes mexicains des années 1930 et 1940, auxquels s'ajoutaient des accents tziganes et klezmer » a conquis le Canada et la France avant de s’imposer dans de nombreux autres pays, remportant plusieurs prix (y compris un Juno Award au Canada) et se vendant à plus de 700 000 exemplaires. Encensée par ses fans, La Llorona est devenu un classique en quelques années.

 

Lhasa s'établit ensuite à Marseille pendant deux ans et demi, où elle recommence à écrire. Mais c'est de retour à Montréal en 2002 qu'elle finalise son deuxième album, dont elle confie finalement la réalisation et les arrangements au percussionniste François Lalonde et au pianiste Jean Massicotte (qui avait, avec Pierre Marchand, mixé La Llorona).

Alors que La Llorona est chanté entièrement en espagnol, The Living Road est écrit en français, en anglais et en espagnol. Son site officiel décrit l'ambiance de cette deuxième œuvre : « elle nous promène d’une « ranchera » à un gospel enlevé, d’un blues percutant à une berceuse toute en douceur avec une aisance à la mesure de son charisme et de sa conviction », y lit-on. Lhasa apporte une autre touche personnelle à ce deuxième album, se réservant le privilège de dessiner elle-même la pochette.

 

The Living Road sort en novembre 2003. Il apporte à Lhasa une reconnaissance encore une fois générale. Ses interprétations font l'unanimité et « on la reconnaît comme une enfant du pays » un peu partout dans le monde. L'album figure d'ailleurs en troisième place des meilleurs albums de musique du monde sortis durant les années 2000 du Times de Londres, derrière The Radio Tisdas Sessions de l'ensemble touareg Tinariwen et Dimanche à Bamako du tandem malien Amadou et Mariam.

Ses chansons sont utilisées dans les bandes sonores de plusieurs films et émissions de télévision : The Sopranos, I Am Because We Are, le documentaire de Madonna, le film de science-fiction Cold Souls de Sophie Barthes et Casa de los babys de John Sayles. Lhasa a aussi collaboré avec les Tindersticks, Patrick Watson, Jérôme Minière et Arthur H. Elle a été récompensée au titre de « Meilleure artiste des Amériques » lors du gala des World Music Awards de la BBC en 2005.

 

En 2004 et 2005 Lhasa entreprend de longues tournées et donne un total de plus de 180 représentations : elle parcourt l'Europe, puis elle chante aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Ces tournées ont un énorme succès auprès du public et les salles sont bondées un peu partout.

Son troisième album, auquel elle donne son nom, est sorti en Europe, au Canada, aux États-Unis et au Japon en 2009. Lhasa est un album écrit complètement en anglais, sa langue maternelle, enregistré sur bande analogique au studio Hotel2Tango de Montréal. Les musiciens qui l'accompagnent sont Sarah Pagé à la harpe, Miles Perkin à la contrebasse, Joe Grass aux guitares, Andrew Barr à la batterie et Freddy Koella aux guitares. Patrick Watson a participé à la composition de certains morceaux.

 

Il ne s'agit pas des seules différences, souligne le critique musical du journal montréalais La Presse, lors de la sortie de l'album. Alexandre Vigneault constate que Lhasa chante « d'une voix claire et haute qu'on ne lui connaissait pas », un « virage vocal » que la chanteuse a entrepris après avoir connu des problèmes de voix en tournée[14]. Sur cet album, plus calme que les précédents et teinté de blues, Lhasa, pour la première fois, s'accompagne elle-même au piano sur un morceau, I'm going in.

Lhasa lance son album au Théâtre Corona de Montréal le 21 avril 2009 et le présente au public parisien au Théâtre des Bouffes du Nord pour un court concert d'une heure, début mai. L'album connaît un succès d'estime auprès de la presse européenne et nord-américaine. Après deux concerts en Islande fin mai, les tournées qui annonçaient son grand retour sur scène à l'automne 2009 sont annulées pour cause de maladie dont elle était en fait atteinte « depuis plus d'un an ». On apprendra par la suite qu'elle a combattu un cancer du sein pendant plus de 21 mois.

Elle meurt le soir du 1er janvier 2010 dans sa résidence de Montréal des suites de ce cancer.

 

 

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:00

Emilíana Torrini Davíðsdóttir (née le 16 mai 1977) est une chanteuse islandaise d'origine italienne.

 

Née le 16 mai 1977, fille d'un père italien restaurateur et d'une mère islandaise, elle se fait connaître en 1999 grâce à sa première sortie mondiale Love in the Time of Science, un album travaillé notamment avec Roland Orzabal de Tears for Fears.

Elle a alors déjà sorti deux albums solo Merman et Crouçie d'où là en Islande, son pays d'origine, et a fait partie d'un petit groupe local Spoon avec lequel elle a sorti un album. Elle collabore également un temps avec le collectif Gus Gus, en 1996, prêtant sa voix à deux chansons de leur premier album.

Sa musique est variée, allant du trip hop à une pop très acoustique.

Emilíana a fait quelques prestigieuses collaborations : Elle chante Gollum's Song, le thème final du film de Peter Jackson, Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours et co-écrit le titre Slow pour Kylie Minogue en 2003.

Parmi ses autres collaborations, la chanson Until the Morning de Thievery Corporation a été utilisée comme musique pour la publicité télévisuelle pour la Fiat Croma, fin 2005.

Elle revient en 2005 avec Fisherman's Woman, un album résolument acoustique, très loin de l'ambiance électronique du premier album.

Son dernier album, intitulé Me and Armini, est sorti en 2008. Il reste dans la continuité du précédent avec une orientation majoritairement pop folk.

 

 

Emilíana a effectué des tournées avec Moby, Sting, Dido, Travis et Tricky.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 08:51

Lisa Ekdahl est une chanteuse de jazz née le 29 juillet 1971 à Stockholm en Suède ; elle a grandi dans une petite ville appelée Mariefred.

La jeune Lisa Ekdhal a découvert la guitare, enfant, par le biais d'un voisin qui, par ailleurs l'a également emmenée à un concert de Bob Dylan.

Plus tard, elle décida d'étudier la musique et à 18 ans elle déménagea à Stockholm où elle commença à chanter le jazz avec le groupe The Peter Nordahl Trio. À cette époque, elle n'avait encore fait aucun enregistrement mais uniquement des concerts avec le groupe. Pendant qu'elle chantait du jazz, Lisa a commencé à écrire ses propres musiques et paroles en suédois. Quelques-unes de ces premières chansons peuvent être entendues sur son premier album Lisa Ekdahl. Sanningen i vitögat est l'une des toutes premières.

Elle signa son premier contrat quand on lui demanda de chanter pour l'artiste suédois Toni Holgersson. Pendant une pause, elle chanta une de ses propres chansons et le producteur de Toni lui proposa de faire un album avec ses chansons.

Son premier album est sorti en 1994 et a eu un énorme succès en Scandinavie. Lisa avait alors 22 ans. Depuis, Lisa a continué à écrire de la musique et à chanter du jazz, de la pop et de la bossa nova.

Son dernier album Give Me That Slow Knowing Smile a eu un succès important en France, où son concert à l'Olympia s'est déroulé le 19 juin 2009 à guichets fermés.

Elle a été mariée avec Salvadore Poe, musicien sud-américain qu'elle a connu en arpentant l'Himalaya, entre 1999 et 2005 ; il compose certaines de ses chansons.

 

 

 

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 21:23

Madeleine Peyroux est une chanteuse de jazz née en 1974 à Athens en Géorgie aux États-Unis. Elle grandit à New York et à Paris.

Elle fut découverte en 1996 quand à l'âge de 22 ans, son premier album Dreamland gagna l'intérêt de nombreux observateurs. Pendant 7 ans elle contribua au travail d'autres artistes tout en passant la majeure partie de son temps à Paris. Il faudra attendre 2004 pour que sorte son deuxième album, Careless Love.

En août 2005, sa maison de disque, Universal Classics, s'inquiétant de la voir disparaître à nouveau, engagea un détective privé. Elle fut rapidement retrouvée à New York avec son manager.

 

 

 

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 21:09

Brisa Roché, née le 26 avril 1974 à Arcata, en Californie, est une chanteuse d'origine américaine résidant en France. Elle chante principalement en anglais et parfois en français.

 

Brisa Roché a passé son enfance en Californie et sa carrière musicale actuelle s'est forgée grâce à ses performances dans les bars jazz de Saint-Germain-des-Prés.

Son premier album, The Chase, se situe dans le prolongement de cette expérience, avec ses tonalités jazz. L'album a été salué par la critique, notamment française (9/10 de la part des Inrockuptibles), mais Brisa Roché a déclaré qu'elle n'en est « pas très fière». Elle a décidé de retourner dans sa ville natale, pour y écrire la plus grande partie de son deuxième album, Takes, dans lequel elle abandonne volontairement le jazz au profit de la pop-folk. La sortie de cet album a été repoussée de mars à novembre 2007 en raison du changement de maison de disques de Brisa Roché, qui a quitté EMI pour rejoindre le label indépendant Discograph.

 

Fin 2007, elle s'adjoint les services de musiciens lillois pour sa tournée française et européenne qui débutera en mars 2008 et se prolongera jusqu'à l'été. Elle jouera notamment au festival des Vieilles Charrues et au Montreux Jazz Festival.

 

« Quand je travaille, quand je suis en pleine puissance de moi-même, je suis toujours nue ou à moitié nue. »

 

« Le jazz a correspondu à une période de ma vie, entre 24 et 29 ans. Pour le moment, c’est fini pour moi le jazz. »

 

 

 

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