Les filles n'aiment pas quand on se met les doigts dans le nez pour y retirer des petites boulettes moelleuses, confortables et parfaitement adhésives.
Je ne vois donc pas ce que les filles me trouvent...
Les filles n'aiment pas quand on se met les doigts dans le nez pour y retirer des petites boulettes moelleuses, confortables et parfaitement adhésives.
tu es magnifiquement folle, tu me rends gogol
tu es givrée, comme toute nana, tu es barrée
tu es aberrantte et ça te rend bien marrante, palpitante
tu es déséquilibrée mais toujours en équilibre étudié
tu es absurde comme un mariage kurde
tu es détraquée et un peu toquée
tu es parfois inconsciente mais très conciliante
tu es aliénée, tu es ma Sigourney
tu es dingo, à un point que c'en est rigolo
tu es incroyable et parfois adorable
tu es impossible, j'aime quand tu es imprévisible
tu es parfois anormale, tu aimes faire souffrir les mâles
tu es immensément dingue, je fond comme une meringue
tu es insensée, juste bonne à te faire internée
tu es complètement barjot, mais ça fait partie du lot
tu es bizarre, comme c'est bizarre, le hasard
tu es énorme, tu as un coeur hors normes
tu es malade mais tu racontes rarement des salades
tu es bouffonne, oui mais c'est toi la patronne
tu es peu excentrique mais tu me fous la trique
tu es prodigieuse, malicieuse, garçe mais pas orgueilleuse
tu es aussi extravagante et quelque fois bien chiante
tu es une psychopathe et pourtant tu m'épates
tu es parfaitement cinglée, fabuleusement cintrée
tu es cong, tu es fada, tu mérites qu'on s'intéresse à toi
tu es saugrenue et je t'aime bien quand tu es nue
tu es farfelue, tu aimes les situations incongrues
tu es sinoque, un peu comme le capitaine Haddock
tu es délirante, quand tu rigoles, ça m'ébouillante
tu es fêlée, tu laisses passer la lumière de ta cruche cassée
tu es complètement sonnée, comme une petite cloche des prés
tu es démente, répétitive et fascinante
tu es tarée, un peu bancale, un peu détraquée
tu es dérangée, dans ta petite tête, ça fuse de tous les côtés
tu es timbrée, j'aime bien de toi me moquer
tu es zinzin, de partout, même de tes seins...
J'aime bien regarder une fille dormir. Faut dire que j'ai plus souvent passé des nuits avec des filles. Parce que regarder un pote qui s'est endormi saoul sur un canapé à cinq du mat', en train de baver bouche ouverte, ronfler du nez, avec sa sale tronche de mec bourré, je sais pas vous, moi je trouve ça, je sais pas comment dire...
Alors qu'une fille qui dort, c'est touchant et beau. Déjà une fille qui dort, c'est une fille qui ne parle pas. Vous m'excuserez cette goujaterie mais c'est un fait. Avoir à ses côtés une fille qui ne vous parle pas, ou pire, qui veut que vous parliez, est un phénomène apaisant proche du nirvana. Et puis, on imagine ce qu'elle pense, ce à quoi elle rêve à cet instant. Des fois, elle grogne, elle gémit, elle ouvre la bouche sans qu'aucun son ne sorte. Et puis je vous ai menti, j'ai connu une fille qui parlait pendant son sommeil et une autre qui grinçait des dents dans un son strident et caverneux très particulier. Voir une amie dormir. Voir son amante dormir. Face à un corps nu étendu, le mâle aura tendance à vouloir profiter de la situation en se risquant à des caresses plus ou moins appuyées, plus ou moins tendancieuses. Certaines adorent et se réveillent pleines de sourires et de désirs, la plupart grommèlent et se retournent dans un vocabulaire parfois grivois.
Voir une fille dormir, c'est la douceur à l'état pur. Ca donne envie de préparer des petits-déjeuners, de faire des plans pour la journée, de l'aimer beaucoup plus que quand elle est éveillée, qu'elle s'agite et vous sollicite. Une fille qui dort, c'est plein d'espoirs et de promesses. On a envie de l'accompagner dans ses rêves, de faire partie de ses fantasmes érotiques, de poser notre main dans ses cheveux. On a parfois envie qu'elle ne se réveille plus jamais mais, dans ces cas là, ça fait bien longtemps qu'on ne l'observe plus dormir. Une fille qui dort sur votre genou, ça vous rend fier, ça vous rend homme, ça vous donne envie de la protéger à tout jamais. Une fille qui dort, c'est notre éveil qui est en fleurs. Une fille qui dort, ça sent souvent bon, sauf de la bouche. Une fille nue qui dort, c'est une paire de petites fesses fraîches qui vous snobe, c'est un dos plein de promesses qui patiente et des petits seins qui vous attendent. C'est un sexe éteint et un visage fermé et neutre. Une fille qui dort, c'est un instant de bonheur qui se repose, ce sont des questions qui se fabriquent à l'intérieur, de ces interrogations dont on aura droit à son réveil. Une fille qui dort, c'est bouleversant quand un rayon de soleil vient lécher le lit comme par enchantement. Un soleil d'été qui vient illuminer une peau assoupie. Une fille qui dore.
Une fille qui dort dans tant de calme, ça vous rappelle que vous aviez fait tant de bruits justement avant qu'elle ne s'endorme. C'est la lave qui est redevenue roche. C'est le feu qui fait un somme en préservant les prochaines braises à raviver. Une fille qui dort, c'est le seul moment où je la trouve princesse. Etendue, détendue, déployée, allongée, étirée, charmeuse en ne faisant rien. Dans ces moments-là, on aurait envie de lui dire mille choses qu'on ne lui dit jamais à un autre moment. Une fille qui dort, hirsute, en marcel, avec des grosses chaussettes, plus maquillée du tout, nue ou en petit short, dans un pygama ou avec un masque sur les yeux, c'est comme ça que je les préfère. Au naturel, sans artifice, sans dorures, sans panoplie de fille. Une fille qui dort, c'est un cadeau de Morphée pour tous les hommes à qui elles en ont fait morfler.
Reste endormie, je te regarde et je t'envie, je suis là tout contre toi, à t'écouter respirer, à t'envisager, à fantasmer sur ta bouche, à préparer le pain grillé.
Une fille qui dort, c'est une très belle sieste pour l'esprit, c'est un regard sur l'infini.
Mince, tu te réveilles...
Une relation avec une personne, ça commence souvent par une étincelle. Et puis en fonction des fluctuations de la vie et du vent aussi, elle deviendra soit une flammèche, un feu de paille, de chaudes braises, une belle flambée, un feu de forêt dans certains cas et un cierge éternel dans de très rares occasions. De l'incandescence des débuts, il ne restera souvent à l'arrivée qu'un petit tas de cendres ou une pauvre petite bougie à la flamme suffocante qui arrive en bout de mèche... Rares sont les étincelles qui se transforment en brasier et si cela arrive, il faut entretenir le feu pour ne pas qu'il s'éteigne. Y insuffler de l'énergie, du combustible, de l'oxygène pour le raviver et le maintenir en vie. Et puis, lorsque ça flambe de trop, souvent on se brûle, on y laisse des plumes et même on y jette son âme. On devient une torche humaine car c'est s'y bon de s'enflammer. Ceux qui y ont goûté ne me diront pas le contraire. (Les autres ne peuvent pas savoir). Qui n'a jamais eu le feu au cul? Et je ne parle pas que des filles. Avoir le feu au cul est une expression souvent utilisée au mode féminin, un peu comme être en chaleur. La fille a vulgairement le feu au cul tandis que le mâle a en lui, le feu sacré, c'est bien connu. Et bien moi, j'aime bien avoir le feu en moi, devenir fiévreux et volcanique, devenir brûlant, ardent, se consumer tel un feu de la Saint-Jean. Puis des fois, alors que le brasier est magnifique, il y a ces douches froides, ces extincteurs qui viennent submerger et éteindre l'ensemble. C'est d'autant plus frustrant qu'un feu peut s'éteindre en un clin d'oeil alors qu'on a parfois mis des jours, des semaines ou des mois à l'allumer. Et voir s'éteindre un incendie construit à coups de silex s'étouffer en quelques instants, pour quelques mots, pour une simple décision, pour un tempérament de feu mal géré, pour un malentendu, une incompréhension, une suspicion, pour un coup de girouette qui fait aller le vent dans l'autre sens, et ben, ça fait tout drôle. Tiens, j'ai les fesses toutes froides à l'instant. Fuck les pompiers!
Le bitume a été dur et froid. Je me suis écrasé dessus comme une merde. Je suis tombé du quatrième ou du cinquième étage, poussé que j'ai été par une matronne. Elle m'a expulsé de son esprit avec son balai de ménagère. Elle n'a pas hésité à me soumettre au vide. Elle a agité ses bras pleins de balais dans ce couloir étroit et m'a secoué l'imaginaire. J'ai eu mal en me réceptionnant sur la joue. Non, en fait j'ai pas eu mal du tout. Mes maux étaient dans mon coeur. J'ai eu mal à l'intérieur. Mes malaises profonds sont remontés à la surface. Tous ensemble, en coalition, ils se sont donnés rendez-vous ensemble, à cet instant, juste pour me faire chier. En fait ce n'était pas du bitume, c'était du sable. Du sable blond et transparent qui coulait à travers nos doigts quand on essayait d'en soulever une poignée. Je m'y suis enfoncé, enlisé, sans pouvoir résister, sans me retenir mais ça m'a fait du bien. Un bien fou. Mes pensées sont parties ailleurs et un monde de volupté m'a envahi. Il y a avait des femmes à moitié nues qui s'aspergeaient de miel, d'autres qui s'éventaient avec des feuilles de palmier et les dernières dansaient comme des connes sur le dernier Scissors Sisters. Je me suis en allé devant tant de mauvais goût. J'ai passé des rond-points de coccinelles, des sentiers de goujons et j'ai atteint une nouvelle oasis. Une aire de parking où des androgynes portaient des shorts de vinyles rouges. Un barbecue se préparait. Des odeurs arrivaient à mes narines mais je n'arrivais pas à les identifier. Je n'avais pas faim, j'avais sommeil. Je suis tombé sur place comme anesthésié par le fumet empoisonné. J'ai commencé à rêver, un rêve horrible. Nous étions lundi matin, j'étais en complet cravate, un attaché-case à la main et j'étais perdu au milieu du parvis de la Défense. Les tours d'immeubles venaient me chatouiller en riant comme des enfants saouls à la liqueur de fraise. J'ai commencé à courir mais les rires me poursuivaient, devenaient oppressants. Un aigle m'a agrippé dans le dos et m'a soulevé dans les airs. J'ai survolé les pavés de la ville à une vitesse incroyable. Une traînée de fumée blanche se formait dans notre sillage. Nous sommes arrivés à l'océan et le rapace a lâché prise comme s'il voulait me déposer sur cette plage de galets blancs. J'ai enlevé les moustiques dans mes yeux et une sirène qui sortait des flots, s'est approché de moi. Elle était pas belle et sentait fort l'algue moisie. Je l'ai pris malgré tout contre moi, par politesse, et elle m'a embrassé. Je me suis alors rendu compte que ce n'était pas une sirène mais Mme Troubineaud, la poissonnière du petit marché de Boulogne-sur-mer. Je l'ai relâché, elle a roulé à terre comme sur une piste de bowling en plein air. Elle fulminait mais je m'en foutais. J'ai repris ma route à travers les épis de maïs. J'avais les poings fermés et je serrais les dents. Il fallait absolument que je sois rentré à la maison à temps pour l'émission de Laurence Brocolini. Des corbeaux m'ont accompagné en m'indiquant la route à suivre avec leurs doigts palmés. J'ai accéléré l'allure, le temps pressait. J'ai croisé Pénélope au croisement d'un chemin carrossable. Elle me racontait qu'elle en avait marre de Londres et que le marais poitevin était finalement l'endroit où elle rêvait de finir ces jours. Elle a commencé à me faire l'éloge du dernier album de Bob Dylan alors jai filé à toute trombe. Je klaxonnais comme un dingue pour faire s'écarter les barques et les pagodes devant moi. Puis à un moment, je me suis senti complètement claqué. J'ai fait une sieste au pied d'un phare au milieu des mouettes rieuses. Je suis tombé dans un sommeil profond. Mes érections se sont succédées grâce à un diaporama de jeunes actrices qui me montraient leurs seins mous. Je tendais les mains vers l'écran pour câliner leurs attributs mammaires mais la matronne me tapait sur les doigts avec son satané balai. Frustré mais requinqué, j'ai accompli les derniers kilomètres sur le ventre en écartant mes membres qui s'étaient vu affubler de roulettes performantes. Je suis arrivé devant mon pavillon résidentiel avec ma femme qui m'attendait sur le pas de la porte. Elle me souriait avec tendresse et m'avait préparé un cake marbré qui fumait encore. Je l'ai sniffé avec une paille et me suis affalé sur mon canapé en moleskine, me munissant de la zapette et là, le quartier a été soufflé par une explosion de gaz. J'ai volé dans les airs avec ma femme qui s'accrochait à mes chaussettes et, comme un seul homme, nous nous sommes écrasés à nouveau mais ensemble, cette fois, sur ce fameux bitume...
Lundi 3 août, 11h47 indiquent les cristaux à quartz rouge de ce radio-réveil de marque nippone visiblement ancien. Le papier peint de la chambre est fleuri, presque trop. Le vent fait onduler les rideaux de la fenêtre entre-ouverte et, au loin, mais en fait tout prêt, on entend la mer. Mieux, on la sent! J'ai une enclume entre les deux oreilles, je suis nu, j'ai les cheveux qui collent et à mes côtés dort encore profondément une fille. Soyons clair! Je ne sais pas qui elle est et je n'ai pas la moindre idée d'où je suis. Où je suis, je m'en fous un peu dans l'instant. Ce qui me taraude est de savoir qui dort à mes côtés, ça m'arrive pas tant que ça de ramener des jeunes filles dans mon lit. Je lui secoue l'épaule doucement. Elle se tourne en grognant, se découvrant et exhibant furtivement un sein bien galbé et ferme. Elle est brune, semble avoir vingt, vingt-cinq ans, elle sent bon alors que je pue le tabac froid. Je me lève. Je fais le tour du lit en faisant craquer le vieux parquet. Je m'agenouille au bord du lit et fixe son visage, l'envisage, le dévisage. Verdict, je ne connais pas cette petite chérie. Je ne me souviens pas être rentré avec elle. Je ne me souviens pas m'être déshabillé, m'être couché et moins encore avoir couché. Plus grave, je ne sais plus, mais alors plus du tout ce qui a pu se passer avant l'arrivée dans cette chambre, ce que j'ai fait de ma soirée. Je laisse dormir la fille et vais tirer les rideaux. Y fait gris, super gris, le ciel est bas, la pluie fine est soutenue mais l'air qui pénêtre dans la pièce est doux. Malgré le peu de lumière extérieure, la pièce s'est illuminé ce qui fait réagir et s'agiter le petit bout de femme sous les draps. Elle ouvre les yeux, jette un coup d'oeil dans ma direction, pousse un soupir, referme les yeux en me lançant : "Qu'est ce que tu fous? Quelle heure il est? "L'heure de la douche, ma belle, j'essaie un: "Tu la prends avec moi ou je te fais couler un bain?". "Un bain avec toi, mon héros!". Là, ça m'inquiète. C'est qui le héros? Ma gueule frippée? Ma proéminence ventrale? Mon sexe collant? Mes cheveux abominables? Mon regard de bovin mort? C'est quoi ça? C'est un gag? Une caméra cachée? Une blague des potes? Je me dirige vers la salle de bains et fais couler l'eau dans la baignoire. Comme je me sens vacillant, je m'y allonge immédiatement laissant l'eau tiède couler sur mes pieds. L'eau me recouvre et envahit le volume lentement. Soudain, une silhouette fine et nue passe la porte avec un semblant de satisfaction, les yeux mi-clos. Elle enjambe le bord de la baignoire et s'installe face à moi avec un sourire complice. Elle passe ses petits pieds blancs sur mon torse et me dit : "Tu as été parfait hier, tu sais?". Non, je ne sais rien mais je ne répond qu'avec un sourire fier et bête, normal en telle circonstance. Je récapitule rapidement la situation dans ma tête fragile. Je suis dans une baignoire d'un hôtel et d'une ville inconnue en bord de mer en compagnie d'une fille bien faite qui me fait des éloges. "Je me suis vraiment amusée hier tu sais. L'ambiance était incroyable. Les concerts de fous. Le bal-guinguette sur la jetée. La parade dans les rues de la ville avec tout ce monde. Le bain de minuit. Le champagne sur les rochers. Le feu de camp et les chants jusqu'à l'arrivée de la pluie. Même le ptit déj improvisé au lever du soleil dans l'auberge du centre. J'en peux plus de ne pas me souvenir. J'ai envie de lui hurler que rien ne me revient mais j'attends qu'elle me parle de notre rencontre, de notre lien et de notre nuit. Pourtant, il n'y a plus d'ambiguités puisqu'elle continue ses caresses pédestres me titillant le sexe à présent. J'en profite pour lui masser les mollets, puis les cuisses et peu partout. Elle penche la tête en arrière et la pose sur le rebord de la baignoire. Ca frappe à la porte. Une femme de ménage nous rappelle qu'il faut libérer la chambre à midi alors qu'il est déjà midi et demi. Je hurle lui disant que je dors. Un bruit de clé dans la serrure et la miss fait son irruption dans la chambre puis nous retrouve dans la salle de bains un peu gênée. Elle nous dit qu'on exagère, qu'elle doit faire la chambre et qu'on va nous facturer une nuit supplémentaire. "Parfait, annonce la fille en face de moi, dont je ne connais toujours pas le prénom, on garde la chambre aujourd'hui". Parfait, dis-je à mon tour. Pas la peine de s'énerver. Et puisqu'elle ne doit plus faire la chambre, je lui propose de venir se joindre à nous. Offusquée, elle hausse les épaules, ressort de la pièce puis se reprend, réapparaît dans la salle de bains, défait son chemisier et retire très vite sa jupe, ses chaussettes et ses sous-vêtements. Elle demande à se faire une place entre nous mais dérape et me tombe dessus. Je me réveille en sursaut, il est 06h54. Nous sommes lundi 3 août et je suis bien dans mon lit, dans ma chambre, seul... Dreams sucks!!!
Les avis qu'on corde.
Les amies qu'on verge.
Les filles qu'on coure.
Les idiots qu'on fonde.
Les blés qu'on casse.
Les bêtises qu'on cède.
Les idées qu'on cerne.
Les bébés qu'on se voir.
Les contrats qu'on clure.
Les cocktails qu'on cocte.
Les clients qu'on cul rance.
Les pions qu'on damne.
Les vapeurs qu'on dense.
Les voitures qu'on duire.
Les tisus qu'on fectionne.
Le états qu'on fédère.
Les fautes qu'on fesse.
Les canards qu'on fie.
Les versions qu'on firme.
Les jouets qu'on fisque.
Les larmes qu'on fondre.
Les avis qu'on fronte.
Les bébés qu'on gèle.
Les verbes qu'on jugue.
Les territoires qu'on quérir.
Le temps qu'on sacre.
Les sexes qu'on sent.
Les étoiles qu'on stelle.
Les murs qu'on solide.
Les supermarchés qu'on somme.
Le pouvoir qu'on spire.
Les adultères qu'on se tate.
Les ignorances qu'on sterne.
Il est vraiment qu'on stipe. [yes, i'm talking about you]
Les maisons qu'on se truire.
Les cigarettes qu'on se hume.
Les maladies qu'on tamine.
Les récipients qu'on tenir.
Les chemins qu'on tinue.
Les obstacles qu'on tourne.
Le sphincter qu'on tracte.
Les passeports qu'on trolle.
Les plaies qu'on tusionne.
Les paroles qu'on verse.
Les invités qu'on vie.
Les héritages qu'on voite.
Les mariages qu'on vole.
Les spasmes qu'on vulse.
Ces salades qu'on combre...