Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 10:41

Kim Novak, née Marilyn Pauline Novak (13 février 1933 à Chicago, États-Unis), est une actrice américaine.

À l'âge de 21 ans, elle arrive à Hollywood et se fait engager par des dirigeants de la Columbia qui voyaient en elle une nouvelle Marilyn Monroe. Elle avait ensuite travaillé, mais c'est pour son physique qu'elle avait d'abord été remarquée. Le succès s'ouvre à elle dès 1955 avec Picnic, pour lequel elle remporte le Golden Globe Award de la meilleure révélation féminine. Elle tourne deux films avec Frank Sinatra: L'Homme au bras d'or en 1955 et La Blonde ou la Rousse en 1957. L'année suivante, Alfred Hitchcock lui offre son plus grand rôle dans Sueurs froides avec James Stewart qu'elle retrouvera la même année pour Adorable voisine. Elle joue aux côtés des plus grands: Kirk Douglas (Liaisons secrètes, 1960), Jack Lemmon et Fred Astaire (L'Inquiétante dame en noir, 1962), Dean Martin (Embrasse-moi, idiot, 1964) ainsi qu'Elizabeth Taylor (Le miroir se brisa, 1980). En 1991, à 58 ans, elle met fin à sa carrière d’actrice.

 

 
Partager cet article
Repost0
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 10:26
L-W Parfois, le seul être qui semble capable de vous consoler est celui qui vous fait le plus de mal.
L-W Bang Bang, my baby shot me down.
... mais bon, on aime bien ça, faut croire...
Partager cet article
Repost0
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 10:02

Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor.

Ta gorge, ainsi deux beaux ramiers prennent l'essor,

Se soulève et s'abaisse au gré de ton haleine.

Tu t'abandonnes, lasse et nue et tout en fleur,

Et ta chair amoureuse est rose de chaleur.

Ta main droite sur toi se coule au creux de l'aine,

Et l'autre sur mon coeur crispe ses doigts nerveux.

Ce taciturne émoi flatte ma convoitise.

Ta bouche est entrouverte et ton souffle m'attise

Et le mien qui s'anime agite tes cheveux.

 

Vivant sachet rempli de nard, de myrrhe et d'ambre,

Tu répands tes parfums irritants dans la chambre.

Je te respire avec ivresse en caressant,

Comme un sculpteur modèle une onctueuse argile,

Ton corps flexible et plein de jeune bête agile.

La lumière étincelle à tes cils, et le sang

Peint une branche bleue à ta tempe fragile.

La courbe qui suspend à l'épaule ton sein

Emprunte aux purs coteaux nocturnes leur dessin.

Ta peau ferme a le grain du marbre et de la rose ;

Et moi je dis tout bas, pendant que je repose

Mon regard amoureux sur tes charmes choisis :

" La gazelle couchée au frais de l'oasis

N'est pas plus douce à voir que la femme endormie,

Et les lys du matin jalousent mon amie. "

 

Charles GUÉRIN - (1873-1907)

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 15:31

Paris, 1899, l'été de l'amour, un jeune écrivain anglais, Christian, arrive à Montmartre sans rien d'autre que sa machine à écrire. Il tente de s'établir dans la culture bohème qui prône la vérité, la liberté, la beauté et l'amour. Par hasard, il rencontre une troupe musicale, dirigée par Toulouse-Lautrec, qui essaye de présenter une nouvelle pièce à Harold Zidler, propriétaire du Moulin Rouge. Le talent de Christian ne tarde pas à charmer la troupe, qui lui demande d'écrire le spectacle nommé « Spectacular ! Spectacular ! ». La troupe emmène Christian au Moulin Rouge afin qu'il présente la pièce à la courtisane la plus fameuse, Satine, pour gagner ses faveurs. Mais le même soir, Zidler a organisé une rencontre entre Satine et un riche Duc, qui envisage d'investir dans le Moulin Rouge. Par malentendu, Satine prend Christian pour le Duc et l'emmène dans l’Eléphant, bâtiment dans lequel se trouvent ses appartements privés. Elle essaye alors de l’aguicher, tandis que Christian tente de lui présenter son œuvre. Durant ce quiproquo qui mêle allusion sexuelles et termes de poésie, Satine est très impressionnée à son tour par les vers de Christian, et lui fait croire qu'elle tombe amoureuse de lui. Jusqu'à ce qu'elle réalise sa condition de pauvre écrivain et l'énorme malentendu qui a eu lieu. Le Duc entre quand les deux artistes se trouvent dans une position très explicite, suite à un évanouissement de Satine. Habilement, cette dernière fait croire au Duc qu’ils ne font que répéter une pièce. À l’aide de la troupe, Satine et Christian improvisent une nouvelle trame pour le spectacle, « Spectacular ! Spectacular », qui symbolise la situation dans laquelle ils se trouvent : un maharadja, qui veut s'accaparer l’amour d’une courtisane indienne, elle même tombée amoureuse d'un pauvre joueur de sitar. Ne comprenant pas les parallèles cachées, le Duc accepte de financer la pièce....

 

Ca a pas l'air comme ça mais ce film est tout sauf classique et académique. Il est totalement fou, complètement hystérique (pour ne pas dire débile ou hallucinogène), absolument rock n'roll même si forcément ultra romantique...

 

 

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 14:12

En guise d'arc en ciel, le dimanche matin,

Neufiesme jour d'octobre apparut une dame :

Son oeil estoit si clair que de sa vive flame,

Il eut pu faire fondre un roc diamantin.

 

Tout le peuple flechit son courage mutin

Esprit de grand' merveille, et jetta l'oeil et l'ame

Bien hautement en l'air ou l'horison s'enflamme,

De ceste impression que formoit le destin.

 

Un soleil jeune et beau, malgré l'obscure nue,

En riant luy monstroit sa face revenue,

Apres avoir long temps autre part esclairé :

 

Il luy communiqua ses lumieres plus belles

Il borda son habit des couleurs naturelles,

De vert, de rouge brun, de jaune et d'azuré.

  

En guise d'arc en ciel, le dimanche matin - Guillaume LE BRETON (1550)

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 10:10
Oui toi aussi, tu as eu une bonne tête de con étant jeune, tu as beau t'appeler U2, tu as été acnéique comme tout le monde. Tu as beau être millionaire à présent, tu as quand même ressemblé à un pauvre naze. Tu as beau être à la pointe de la mode, de la technologie et de la classe américaine, n'oublies pas que toi aussi, tu t'habillais dans les vide-greniers de Dublin. Et puis, au niveau capillarité, il vaut mieux parfois assumer sa calvitie actuelle plutôt que de proposer d'antiques collections de moumoutes naphtalinées. Et oui, même Toi Aussi a été jeune, et probablement qu'ils étaient bien moins cons à l'époque que ce qu'ils sont devenus, même si cette photo (fin seventies) ne le laissait absolument pas présager...
 
Je dois avouer que U2, enfin sa musique, a joué un rôle très important dans mes années lycée. J'ai pris l'album War en pleine gueule milieu milieu des années 80 puis j'ai découvert les précédents. Je les ai vu une fois sur scène, le 21 juin 1987, la veille de mes épreuves du bac sur la tournée Joshua Tree. Il pleuvait et y'avait du soleil en même temps : un vrai temps irlandais ! Ils ont débuté le concert avec Come on everybody d'Edie Cochran puis enchainé avec I will follow. A présent, je n'écoute plus leurs disques et je ne suis jamais retourné les voir ses 23 dernières années, je ne les ai donc pas follow...
Partager cet article
Repost0
16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 09:57

Je me souviens de mon enfance

Et du silence où j'avais froid ;

J'ai tant senti peser sur moi

Le regard de l'indifférence.

 

Ô jeunesse, je te revois

Toute petite et repliée,

Assise et recueillant les voix

De ton âme presque oubliée.

 

Je me souviens de mon enfance - Cécile SAUVAGE (1883-1927)

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 09:17

Bien que flasque et geignant et si pauvre ! si morne !

Si las! Redresse-toi, de toi-même vainqueur ;

Lève ta volonté qui choit contre la borne

Et sursaute, debout, rosse à terre, mon cœur !

 

Exaspère sinistrement ta toute exsangue

Carcasse et pousse au vent, par des chemins rougis

De sang, ta course ; et flaire et lèche avec ta langue

Ta plaie, et lutte et butte et tombe - et ressurgis !

 

Tu n'en peux plus et tu n'espères plus ; qu'importe !

Puisque ta haine immense encor hennit son deuil,

Puisque le sort t'enrage et que tu n'es pas morte

Et que ton mal cinglé se cabre en ton orgueil.

 

Et que ce soit de la torture encore ! encore !

Et belle et folle et rouge et soûle - et le désir

De se boire de la douleur par chaque pore,

Et du vertige et de l'horreur - et le plaisir,

 

O ma rosse de soufre et d'os que je surmène

Celui, jadis, là-bas, en ces minuits du Nord,

Des chevaliers d'éclair, sur leurs chevaux d'ébène,

Qui s'emballaient, fougueux du vide et de la mort.

 

Eperdument - Émile VERHAEREN (1855-1916)

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 18:41
Est-ce que vous êtes vivants ?
 
...intro d'un concert énorme d'F.F.F. devant 20.000 personnes aux Eurockéennes de Belfort...
J'y étais!!!
C'était le 5 juillet 1997, j'étais jeune en ce temps-là...
F.F.F. avait la caractéristique de produire des disques un peu bof avec des titres un peu plouf et de les rendre dingues sur scène... dingue, quoi...
J'étais jeune, j'étais vivant, j'avais la pêche et eux aussi...
C'était le bon vieux temps, m'ssieurs, dames...
 
Partager cet article
Repost0
15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 16:18

Redemption Song est le dernier morceau de Uprising, neuvième album des Wailers. La chanson est considérée comme l'une des œuvres séminales de Bob Marley, inspirée de textes provenant d'un discours prononcé par l'orateur Marcus Garvey.

Au moment où il a écrit la chanson, en 1979, Bob Marley venait d'être diagnostiqué du cancer qui devait plus tard lui prendre la vie. Selon Rita Marley, «il était déjà secrètement dans un lot de douleur et traiter de sa propre mortalité est une caractéristique qui apparaît clairement dans l'album, en particulier dans cette chanson".

Contrairement à la plupart des titres de Bob Marley, c'est un enregistrement strictement acoustique et en solo, composé par Marley qui chante et joue d'une guitare acoustique, sans accompagnement, ce qui donne à ce titre un côté très folk, loin des autres compositions habituelles de Marley...

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Sans blog !?!
  • : Une quintessence de futilité ambiante avec des reminiscences variables de secousses telluriques, atmosphériques, éthyliques...
  • Contact

Recherche

Liens