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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 17:27

Ce soir j'irai au bal avec toi.
Tu mettras ton pantalon qui te fait un beau cul, ce sera de la balle.
Je fixerais tes yeux fous et on dansera dans la foule.
Nous n'écouterons pas la musique, nous inventerons la nôtre.
Le rythme de nos coeurs donnera le tempo.
Je scruterais les regards des hommes qui se poseront sur toi.
Leur désir pour ton corps sera mon plaisir.
Je te regarderai bouger, tournoyer, t'exprimer avec fierté.
Tu te baisseras en dansant pour mieux les laisser plonger dans ton décolleté.
Un pompier t'invitera à guincher, tu accepteras.
Ca me rendra jaloux de le voir dans tes bras, tu le sauras.
Tu aimes bien comme je t'aime dans ces moments-là.
Je chercherai une partenaire de mon côté mais je ne trouverais pas.
Cela te fera ricaner quand je refuserai l'invitation d'une mamie.
J'aimerai le sourire euphorique que tu auras après ton premier verre de Madiran.
J'aimerai quand tu m'embrasseras avec la langue au milieu des danseurs.
J'aime lire dans ton regard dans ses instants sans qu'on ait à se parler.
On rentrera sous la lune et à travers champs.
Je te peloterai sur le chemin du retour pour que tu sois bien excitée en arrivant.
On se jètera l'un sur l'autre dans la fraîcheur d'une nuit d'été.
Tes cris sortiront par la fenêtre effrayer les hiboux.
J'aimerai ce moment où la femme s'enflamme en toi.
Ca provoquera en nous un feu d'artifices entre nos cuisses.
C'est normal, c'est pas tous les jours le 14 juillet...


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 17:25

Ma lady est créative, elle fixe le temps dans ses dérives,
Rêveuse, elle n’est plus une enfant mais une lune attractive,
Une amoureuse au cœur sensible, une écorchée intuitive,
Charmante et timide, elle est mélancolique mais pas passive.

Ma lady aime la vie, boit ses peurs et cultive ses envies,
Indécise et loyale, elle est imparfaite, remplie de folies,
Une poétesse humaine et tendre, une fille à l’eau de vie,
Honnête et bonne vivante, l’ennui est son ennemi.

Ma lady aime les vieilles fringues, les secrets et faire la dingue,
Elle aime les étoiles de la nuit, les étincelles à même le jour,
Incertaine, elle soigne ses larmes comme une gamine sans meringue,
Drôle et enjouée, elle laisse le temps glisser, cultivant l’amour.

Ma lady est compliquée en restant simple, forte en étant faible,
C’est une dormeuse aux yeux ouverts, une entêtée à l’âme sensible,
Une élégante pleine de trésors, de mystères qui la rendent affable,
Elle aime les nuits d'été quand le soleil l'a caressé, fière et inamovible...


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 17:20

Il arrivait parfois qu'elle referme la fenêtre de la chambre en pleine nuit car elle grelottait sous la couette. Je profitais qu'elle se recouche pour alors l'enlacer, la serrer contre moi et lui offrir un peu de chaleur humaine, mais elle me tournait le dos, se recroquevillait sur elle-même et venait coller ses fesses contre mon sexe, façon de dire qu'elle voulait que je la laisse tranquille. Je n'avais jamais vu une fille avoir froid à ce point en plein été. Elle avait froid tout le temps, toute l'année, en toutes circonstances. Les seules exceptions étaient lorsqu'on faisait l'amour. Mais une fois l'orgasme consommé et évacué, elle se remettait à trembloter. Je la prenais dans mes bras pour réchauffer sa peau. Je sentais son front fiévreux, son coeur bouillant, ses seins brulants, son sexe ardent. Pourtant elle frémissait sous mes doigts comme si le froid du diable était en elle. Son corps tiède tranchait avec son intérieur rempli de froideur. En fait, c'était son âme qui était glacée, glaçante, glaciale. Un immense froid polaire qui contrastait avec le feu de ses jouissances, toujours volcaniques, remplies de spasmes effrayants et de cris gutturaux fulgurants. Ce froid rajoutait de la distance entre nous car j'en assumais une part de responsabilité en me disant que c'était un peu de ma faute si elle ne se réchauffait pas. Ce sentiment coupable devenait même parfois amer et hostile. Comme elle ne réagissait pas à mes caresses, je mettais son insensibilité réfrigérante sur le compte de sa mauvaise volonté de fille. Elle avait beau m'expliquer qu'elle avait des problèmes de circulation sanguine et que ça avait toujours été ainsi, je ne pouvais que me faire à l'idée que cette situation lui plaisait bien, que ça la distinguait des autres, et que ça entretenait son caractère de personne renfermée et singulière. Elle haussait les épaules quand j'essayais de la titiller à ce sujet. Elle se libérait de mes bras et allait se réfugier tout au bord du lit comme pour me renier en me traitant de mec qui ne comprenait rien. J'attendais ensuite quelques minutes dans le noir, elle se rendormait toujours très rapidement. Je me levais alors pour ouvrir la fenêtre, on étouffait dans cette chambre...

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 15:51

Ca a l'air de rien comme ça au départ. Ca ressemble à une fille. C'est mignon, c'est petit, c'est doux, c'est chaud, c'est sucré. On ne se doute pas du cadeau empoisonné, de ce qui se cache derrière toutes ses promesses. On ne se méfie pas. On profite de ses attributs sans imaginer que c'est elle qui dispose de votre esprit. Elle fait envie, elle donne la vie. On en tombe amoureux, fou amoureux, fou tout court. Puis, elle reprend ses distances, se cache, disparait, réapparait, joue avec vous, se joue de vous. Elle ne vous offre plus ce qu'elle vous donnait au début, ou alors avec parcimonie. Elle ne vous écoute plus qu'à moitié, elle se désintéresse de vous sans vraiment vous l'avouer. Ses attentions deviennent fantasques, son affection devient loufoque, les conversations deviennent grotesques, la relation devient burlesque. Elle vous fait tourner en bourrique, se refuse à vous, ne vous parle plus qu'à demi-mots, va flirter ailleurs, ne donne plus signe de vie pendant des heures, des jours. Et ce petit bout de fille qui vous avait accompagné jusqu'ici, s'enfuit dans la nuit, s'arrache de votre vie en vous faisant croire que c'est vous qui êtes parti. Le petit ange doux, attentionné et affectueux est devenu une femme méchante et désagréable, dédaigneuse et égoïste, méprisante et méprisable. Mais bon, nous sommes pareils. Je suis pareil comme tous les garçons car n'oublions pas qu'au départ, la garce désignait juste le féminin de garçon avant de devenir péjoratif. Et oui, une garce c'était juste une jeune fille au départ. Donc c'est bien ce que je disais, nous sommes tous des garces...

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 15:48

On ne dit pas Hélène Segara, mais Hélène s'est perdue !

On ne dit pas polémiquer, mais Paul et sa souris.

On ne dit pas Le Massif Central, mais le gros du milieu.

On ne dit pas mon corridor, mais mon corps se repose.

On ne dit pas c'est l'Amazone, mais c'est là que j'habite.

On ne dit pas il est chétif, mais il est chez le coiffeur.

On ne dit pas la maîtresse d'école, mais l'institutrice prend l'avion.

On ne dit pas jerrican, mais je rigole.

On ne dit pas le ton monte, mais la fille moche prend l'ascenseur.

On ne dit pas javéliser, mais j'ai lu.

On ne dit pas un ingrat, mais un nain gros.

On ne dit pas le petit Poucet, mais le gosse était constipé.

On ne dit pas mine de rien, mais gisement épuisé.

On ne dit pas démanger, mais vomir.

On ne dit pas un poète, mais un klaxon.

On ne dit pas un enfoiré, mais une année de perdue.

On ne dit pas une biroute, mais une route à deux voies.

On ne dit pas dégâts des eaux, mais des marins.

On ne dit pas je suis paniquée, mais je cherche un mec.

On ne dit pas adéquation, mais y a-t-il des questions ?

On ne dit pas je suppute, mais je suis péripatéticienne.

On ne dit pas un conquistador, mais un imbécile narcissique.

On ne dit pas j'ai vaincu, mais je suis pluri-anal.

On ne dit pas faire des vendanges, mais péter comme un Dieu.

On ne dit pas un microprocesseur, mais un petit prof.

On ne dit pas un homme hors pair, mais un eunuque.

On ne dit pas couper le beurre, mais circoncire.

On ne dit pas un pinailleur, mais un mari infidèle.

On ne dit pas barbecue, mais poils aux fesses.

On ne dit pas la bonne paella, mais la femme de ménage est absente.

On ne dit pas mélodie en sous-sol, mais gare la voiture au parking souterrain.

On ne dit pas je tripote, mais j'ai trois amis.

On ne dit pas le processus de paix est enclenché, mais je vais lâcher une caisse.

On ne dit pas c'est alligator, mais c'est Mouloud qui a raison.


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 15:35

J'écris de la merde dans mon blog. Les mots qui viennent sont merdiques, ils m'emmerdent. Ils ne sont ni justes, ni drôles, ni méchants. Ils sont juste bouseux. Ils semblent n'avoir pas de cohérence, ils ne s'imbriquent pas les uns dans les autres, ils dégoulinent, ils puent du cul, ils sont lourds et indigestes, comme s'ils avaient envie de se prendre une veste, comme s'ils voulaient se pendre sans demander leur reste.

C'est terrible quand les mots ne vous obéissent plus. Ils semblaient vous appartenir et là, ils vous laissent en plan comme un con, en ricanant dans leur coin. Les mots sont des petites putes sans reconnaissance. Ils ont oublié les jours où je les faisais briller, où je les mettais en avant, où ils connurent chacun leur instant de gloire, leur sublime moment où ils étaient les rois de la rime, maintenant ils friment. Mais j'aurais du m'en douter. Les mots sont traîtres puisqu'ils sont humains. Et puis de toute façon, les mots ne sont rien s'ils ne sont pas habilement placés par un cerveau singulier. Les mots prennent de la hauteur grâce à leur auteur. Ils n'ont pas conscience de leur pouvoir lorsqu'ils sont là, comme ça, tout seuls, laissés pour compte, à compte d'auteur.

Pourtant, avec la malice et l'intelligence, ils peuvent décapsuler, être fiévreux, tendus, irradier tout un chacun juste avec la formule adéquate, la combinaison de mots qui sera celle qui touchera sa cible au plus profond, soit en méchanceté, soit en émotion, soit en déclaration d'amour, soit en explication.

Les mots sont le meilleur des duels, la joute absolue, la rixe des âmes perdues. On ne dit jamais assez souvent les bons mots aux bonnes personnes car on a peur des mots qui sonnent, qui résonnent, on préfère ceux qui raisonnent et calment les esprits. Les mots ont cette magie, d'être plus forts que les cris, plus forts que l'écrit, pourtant les mots ça s'écrit. Ils deviennent encore plus puissants quand on les écrit plutôt qu'on ne les crie. Les mots sont parfois décriés, à tort ou à travers mais c'est ainsi qu'on décèle leur pouvoir. Lorsqu'ils ont touché la cible, qu'ils ont fait mouche à l'intérieur d'un esprit inverse, un de ceux qui n'emploierait pas les mêmes mots pour parler d'un même sujet.

Les mots, je vous aime. Ne me laissez pas tomber, jamais. Faites moi vivre, rire et pleurer, hurler et chanter. Soyez présents quand le besoin s'en fait sentir, lorsqu'il faut la bonne répartie au bon moment, le bon adjectif qui donne avec minutie tout son sens à une situation, à une description précise, l'exact mot au bon moment. Je vous aime et je vous le déclare avec pudeur, à demi-mot...


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 15:24

* Elle est largement plus drôle que les filles que j'ai connu même si elle est aussi très chiante par ailleurs

* Elle a une petite voix aigre-douce à la fois sensuellement sucrée et subtilement rauque

* Elle a des petites fesses comme des caramels et des p'tits seins comme des pêches de vigne

* Elle a une araignée au plafond qui lui confère ce côté mignon

* Je la regarde dormir, c'est mon programme de télé préféré

* Quand elle rit aux éclats, il y a des vols de flamants roses dans ma tête

* Elle a une âme d'enfant, un corps d'adolescente et le savoir-faire d'une dame

* J'aime quand nos esprits se rencontrent, se connectent, se mettent en phase l'un avec l'autre

* Elle n'est pas jolie, elle est pire

* Quand je la sers fort contre moi, j'oublie à cet instant que je vais mourir...


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 15:18

J'ai peur du noir. Du coup, je bois pour devenir noir.
J'ai peur du vide. Je me précipite dans des précipices sans fond, je me réveille en sueur et en larmes je fond.
J'ai peur des femmes. C'est pour cela que je crois les aimer de toute mon âme.
J'ai peur du feu. Les flammes, ça me rend anxieux.
J'ai peur de la mort. SOS amor, tu m'as conquise, j't'adore.
J'ai peur des méduses. Elles m'écoeurent et je n'ai pas envie qu'elles ne m'abusent.
J'ai peur du froid. J'ai envie de toute ta chaleur des rois.
J'ai peur des films de zombie. Alors contre toi, je me blottis.
J'ai peur de l'avion. Ainsi, je m'y saoule comme un con.
J'ai peur de te quitter. En même temps, c'est peut-être l'inverse qui va arriver...
J'ai peur de te savoir seule. J'ai bien envie de devenir ton épagneul.
J'ai peur des araignées. Sur moi les voir gambader me fait hurler.

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J'ai peur des serpents. Toujours l'impression qu'ils vont me rentrer dedans.
J'ai peur de la mort des miens et pourtant on y peut rien.
J'ai peur d'être un mauvais amant. Tu as raison! Je le vérifie tout le temps.
J'ai peur de te faire souffrir. Un rien pourtant saurait te faire sourire.
J'ai peur d'être amoureux de toi. C'est con, je sais mais c'est comme ça...
J'ai peur des informations à la télévision. Ca me rend triste, en pleine dépression.
J'ai peur de sortir la nuit. L'ennui, c'est que tous les chats sont gris, et pis les chattes aussi.
J'ai peur de l'eau. Je m'y vois, je m'y noies, c'est pas rigolo.
J'ai peur de vieillir. Tu es si belle alors que tu crois t'enlaidir...
J'ai peur des flics. Je sais pas pourquoi, quand je les vois, je flippe.
J'ai peur d'être enceinte. Je t'avais pourtant dit de ne pas boire tant de pintes.
J'ai peur de ton regard. Dis moi que tu l'as posé sur moi par hasard.
J'ai peur de l'autre. Alors qu'il suffit qu'en quelques mots il devienne vôtre.
J'ai peur des hommes. Ils n'en veulent qu'à mon cul, en somme.
J'ai peur des fêtes de famille. On y voit que des cons, on s'y ennuie.
J'ai peur du quotidien qui s'installe. Je veux partager tout avec toi, sauf du banal.
J'ai peur de mes nuits d'ivresse. J'en oublie tout même quand on me tripote les fesses.
J'ai peur de te perdre. C'est si difficile de te gagner que je n'ose l'envisager.
J'ai peur pour mon avenir. Ben vis le, tu verras bien ce que tu vas devenir.
J'ai peur de mon passé. A quoi ça t'avance ? Te v'la bien avancé !
J'ai peur de mon présent. J'aimerai qu'il soit loin maintenant.
J'ai peur de t'aimer trop fort. On peut aimer trop mal mais jamais trop fort.
J'ai peur d'avoir raison. Ouais, et t'as bien raison d'avoir peur...


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 14:53

Le bonheur a frappé à ma porte. Il est venu à l'heure d'un air débonnaire. Il avait l'air de bonne humeur dans son Hummer. A la bonne heure, je me suis abonné à ce bonheur qui me tenait à coeur. C'est pas tous les jours qu'on vous fait une offre de bonheur à la carte. Et puis je pense que c'était l'heure, qu'elle était arrivée, que c'était la bonne heure pour ça!

L'air de rien, ça fait du bien de se sentir léger, délesté, débarrassé. Pour moi le bonheur, c'est un massage qui n'en finit pas, un plat qui garde son savoureux même si on le goute trente-sept fois. C'est un morceau de musique qui ne s'use pas dans nos oreilles, c'est une blague avec laquelle on va aimer rire à nouveau, c'est un visage qu'on a vu mille fois et qui nous donne toujours envie de le recroiser.

Je ne sais pas pourquoi je vous parle de mon bonheur, c'est pas trop mon truc habituellement. C'est absolument impudique, irrespectueux et dédaigneux à l'encontre de tout ceux qui souffrent (à peu près tout le monde) dans leur marasme fait de Kellogs cornflakes et d'huile de vidange. Je trouve cela même très naze quand je vois certains répandre leurs tartines de bonheur sur leur blog. Alors je me suis dit que j'allais jouer la surenchère. Que je ne mettrais pas de confiture sur mes tartines mais du beurre de cacahuètes. Quelque chose de bien gras, bien répugnant, qui s'étale jusqu'à écoeurement.

Le bonheur des bonnes heures avait touché la bonne soeur. Elle prit son air supérieur, je pris mon air débonnaire.

Le bonheur est une succession de petites joies cumulées, compilées et non calculées. Le bonheur arrive (ou pas) et pis c'est tout. Pas la peine de l'attendre derrière sa fenêtre en caressant son chat qui ronronne (ou son minou qui frissonne). Si le bonheur ne vient pas te caresser, n'essaies surtout pas de le provoquer, ça serait du bonheur factice, en contreplaqué que tu essaierais de fabriquer, du bonheur de contrefaçon, de contrebande, du bonheur qui ne fait pas qu'on bande, du bonheur virtuel qu'est pas réel, du bonheur en carton pâte à la hâte, du bonheur tout pourri avec un tout petit zizi.

Le problème du bonheur, malgré sa définition étymologique, est un truc qui dure jamais trop longtemps. Un peu comme un orgasme foudroyant, un fou rire avec une amie, un bon repas, une nuit de belle ivresse, une randonnée parmi les chamois. Il faut savoir savourer ses instants, prendre le temps, les partager tant qu'on peut. Souvent, on en a pas assez, alors on redemande ses piqûres d'Epicure. Apprendre à se faire plaisir et savourer ses instants peut favoriser leur appréciation, même s'il ne les provoquera pas pour autant.

Le bonheur, c'est l'oubli paraît-il. C'est faire abstraction des mouches et des soucis qui vous entourent et aller de l'avant : avancer, créer, faire des choses. On peut trouver du bonheur à écrire des mots qui nous plaisent, s'esclaffer devant une photo qu'on vient de faire et qui pète, être satisfait de la sauce qu'on vient de faire mijoter avec des restes du frigo, ou simplement voir pousser jour après jour les petites graines qu'on a semé. Le bonheur, c'est la première sensation d'ivresse, celle qui euphorise et enflamme le cerveau, c'est le goût de ses lèvres sucrées-salées dans ma bouche, c'est le partage d'un rire particulièrement contagieux, c'est la surprise dans ses yeux, c'est sa bouche sur ma queue, ce sont ses seins entre mes mains, ce sont ses cris dans la nuit.

Le bonheur est parfois simple et facile, le problème étant de ne pas en abuser pour que ses petits instants de grâce restent en apesanteur et ne retombent pas sur le sol rêche du quotidien. Si le petit instant devient une habitude, il en perd de sa rareté et donc, de sa valeur. Le problème, c'est que l'horloge tourne et qu'il faut se gaver un maximum de bonheurs et de hihihi avant la fin, car à la fin, c'est cuicuicui.

Le bonheur est une garce qui s'enfuit si vite arrivée. Il se faufile comme une anguille, se défile comme une fille. Il faut donc savoir en profiter quand il est là pour ne pas trop le regretter et le maudire quand il sera loin et qu'il te fera un doigt.

Le bonheur sent parfois le rance, l'argent, le saindoux, le poisson pourri ou le graillon, et ben c'est juste que c'est un bonheur qui ne sent pas très bon...

Le bonheur est une pute mais qu'on ne le connait pas, de la vie on s'ampute... (Charles Ingalls)


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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 14:42

Femme de Laval, femme qui avale...
Femme de Vertou n'a pas de vertu, pour un écu elle te montrera tout...
Femme de Chavignol, adepte de la branlette espagnole...
Femme de Bordeaux, sera fan de ton poireau...
Femme de Luchon, aura de gros nichons...
Femme du Maine-et-Loire, prend toute sa valeur dans le noir...
Femme qui à Nantes habite, se régalera de ta bite...
Femme de Strasbourg, on la retourne et on la bourre...
Femme de Lyon, elle en aura pour son fion...
Femme de Toulouse, elle fait rien, c'est la louze...
Femme de Montcuq, aime à s'en prendre plein le cul...
Femme de Marseille, elle suce seulement pour de l'oseille...
Femme de Bruxelles, pas de rateau, rien que des pelles...
Femme de Louxor, mets lui un doigt, elle adore...
Femme de Vitré, ne sait pas suçer...
Femme de Quimper est toujours nue sous son imper...
Femme de Concarneau sautera sur tes bigorneaux...
Femme de Brest ne sera jamais en reste...
Femme de Pornic, tu les vois, tu les nique...
Femme de la Baule, me donne toujours la gaule...
Femme de Noirmoutier aime bien se faire brouter...
Femme de La Roche aime bien qu'on les embroche...
Femme de la Rochelle sent fort sous les aisselles...
Femme de St-Brieuc en voudra a tes œufs...
Femme de St Malo a toujours de gros lolos...
Femme d'Angers, de positions aiment bien changer...
Femme du Mans, attention, mets pas les dents...
Femme de St Nazaire aime se faire prendre par derrière..
Femme de Reims, les tétons elle vous pince...
Femme de Bourges honorera ta courge...
Femme de Blois est plus cochonne que tu crois...
Femme de Boulogne ne rechigne pas à la besogne...
Femme de Villeurbanne aime les mecs montés comme des ânes...
Femme de Versailles se faire brouter dans les broussailles...
Femme de Pessac saute sur tout, même les gros sacs...
Femme de Poitiers ne fait pas les choses à moitié...
Femme de Rezé aiment bien se faire...
Femme d'Agen, dans son pruneau tu te sentiras bien...
Femme de Cambrai, pour les bêtises elle est ok...
Femme de Morteau, ta saucisse elle te bouffera tout chaud...
Femme de Montélimar, dans ton nougat je suis bonnard...
Femme de Dijon a de la moutarde plein le con...
Femme de Vire vous bouffe l'andouillette avec plaisir...
Femme de Nantes, de ton ptit lu j'écarte la fente...
Femme du Mans avalera tes rillettes goulument...
Femme de Chavignol, sur du crottin elle se pignole...
Femme de Bayonne, entre ses jambons tu t'abandonnes...
Femme de Martigues, t'offrira sa figue...
Femme d'Ajaccio se tripote l'abricot...
Femme des Sables d'Olonne, c'est moi qui conduit, c'est elle qui klaxonne...
Femme de Macon, vous prendra pour un con...
Femme de Valence, te purgera la lance...
Femme de Roanne, te bouffera la liane...
Femme de Dijon, te prends pour un pigeon...
Femme de Colmar encensera ton braquemard...
Femme de Carcassonne, tu la bourres, elle s'abandonne...
Femme de Rodez n'en veut qu'à ton pèze...
Femme de Bourg-en-Bresse, branle comme une déesse...
Femme d'Epinal, pour rentrer dans les annales...
Femme du Touquet ne manque pas de toupet...
Femme de Saumur te videra tes couilles bien mûres...
Femme d'Avignon se tripotent l'oignon. ..
Femme du Croisic, deux qui la tiennent, trois qui la niquent...
Femme de Périgueux, se transcende dans ton pieu...
Femme de Bergerac, tu la prends sur un clic-clac...
Femme de Cahors, te fera virer de bord...
Femme de Moissac, aime bien s'agenouiller dans les cul-de-sac...
Femme de Libourne, te lèchera les bournes...
Femme de Lunel, finissent toutes au bordel...
Femme de Labrit, n'en voudra qu'à ta bite...
Femme de Roquefort, te fera bramer fort...
Femme de Mimizan, dégustera ton parmesan...
Femme de Montauban, te rendra fier comme Artaban...
Femme de Tulle, te pompera sans calcul...
Femme de Marmande, toujours en redemande...
Femme de Tarascon, y'a du monde au balcon...
Femme de Sarcelles adorent se faire défoncer la rondelle...
Femme de Pointe-à-Pitre, ouvre son sexe comme une huître...
Femme d'Albi, adore les cagibis...
Femme d'Amiens, te filera le gourdin...
Femme de Chambéry, elles sont very, very...
Femme d'Hossegor, toute la nuit te picore...
Femme de Castelsarrasin, te rendra complètement zinzin...
Femme de Narbonne, quoi qu'il arrive sera toujours bonne...
Femme de Béziers, jamais rassasiée...
Femme de Sète, toujours dispo de cinq à sept...
Femme de Montpellier, les joncs aime bien peler...
Femme de la Grande Motte, a plus d'un tour dans sa hotte...
Femme de Sommières, se savoure autour d'une bière...
Femme d'Aix, te convaincra des vertus de son sexe...
Femme de la Motte-du-Caire, introduira dans ton cul son annulaire...
Femme de Brignoles, sont les reines de la pignole...
Femme de Six-Fours, tu la prends puis tu la fourres...
Femme d'Ollioules, te laissera déguster sa moule...
Femme de St-Tropez, ton gendarme voudra s'enfiler...
Femme du Lavandou, aime bien quand c'est dur et pis c'est tout...
Femme d'Antibes, ne se montre guère mais s'exhibe...
Femme de Monaco, aime les noix de coco...
Femme de Bonifacio, tu en feras ton carpaccio...
Femme de Solenzara, te désemparera...
Femme de Cherbourg, l'assurance d'une bonne bourre...
Femme de Fécamp, tu te la fais quand ?
Femme de Trouville, ce que tu fais dans son trou est bien vil...
Femme de Cholet, te fera découvrir tous ses bourrelets...
Femme de Calais, ferme et tendre comme le blanc de poulet...
Femme d'Arras, de vraies pétasses...
Femme de Reims, dans sa bouche tu te rinces...
Femme de Clermont, comme celles de Chaumont...
Femme de Lavit, chaude comme une baraque à frites...
Femme de Compiègne, jamais ne se plaignent...
Femme de Paimpol, fera pleurer Popol...
Femme de Plouhinec, aime bien qu'on l'encule à sec...
Femme de Quiberon, connait tout ce qui est bon...
Femme de Pont-Aven, ta galette fera sienne...
Femme de Guérande, si tu les vois, tu bandes...
Femme de St-Gildas-des-Bois, cherche bien, tu les trouveras...
Femme de Redon, princesse de l'édredon...
Femme de Chartres, les queues elle détartre...
Femme d'Avallon, elles t'avaleront, elles t'aviliront...
Femme de Montbard, te pompera le dard...
Femme de Chablis, jamais ne faiblit...
Femme de Sancerre, on la prend et on s'en sert...
Femme d'Auxerre, ton étau elle resserre...
Femme de Draguignan, te dragueras le gland...
Femme de Troyes, ok pour un plan à trois...
Femme de Vesoul, jamais saoule...
Femme de Belfort, hurlera fort...
Femme de Montbéliard, tout simplement du caviar !
Femme de Beaupréau, raffole du maquereau...
Femme de Niort, elles y vont fort...
Femme de Rochefort, te ranimerait un mort...
Femme de Montmorillon, pour sa morille tu deviens con...
Femme d'Angoulême, femmes, je vous aime...
Femme de Châteauroux, ne sont pas des bouches-trou...
Femme de Nevers, te prendra à revers...
Femme de Mulhouse, c'est toutes des bouses...
Femme de Gueugnon, te filera des champignons...
Femme du Pontarlier, toutes folles à lier...
Femme d'Aubonne, elles sont trop bonnes...
Femme de Saint-Symphorien, fera tout le boulot, toi tu fous rien...
Femme de Royan, a le sexe humide et vivifiant...
Femme de Tardets-Sorholus ont bien du poil au cul...
Femme de Beaucaire te fera une cravate de notaire...
Femme d'Ossun, en profitera pour te montrer les siens...
Femme d'Ousse te gobera la gousse...
Femme d'Oust aime bien qu'on l'épouste...
Femme de Limoux, te laissera lui bouffer le mou...
Femme de Castelnaudary, sera filmé par son mari...
Femme de Mazamet, s'agenouille pour reniffler tes pets...
Femme d'Ajaccio aime bien qu'on lui bouffe le gigot...
Femme de Rivesaltes, un petit rien l'exalte...
Femme de Cuq-Toulza, avec toi viendra faire caca...
Femme d'Espelette, prends la poudre d'escampette...
Femme de Nérac a plus d'un tour dans son sac...
Femme de Nantua, sur ta belle queue s'empalera...
Femme de Montréal, friante d'un bonne éjac faciale...
Femme de Mirande, aime qu'en elle tu te répandes...
Femme de Marvejols, pas les dernières pour la gaudriole...
Femme de Figeac, tu la prends dans un ressac...
Femme de Cavaillon est une vraie souillon...
Femme de Carnoules, aime bien jouer aux boules...
Femme d'Aubagne, aime la turlute dans nos campagnes...
Femme de Barcelonnette en a déjà vu de la quéquette...
Femme de Nuits-St-Georges voudra qu'on décharge dans sa gorge...
Femme de la Villette, te lèchera les roupettes...
Femme de Saturne en voudra à tes burnes...
Femme d'Arpajon, te chouchoutera le jonc...
Femme de Montmirail aime que dans son cul tu dérailles...
Femme de La Guerche adore s'en prendre plein le derche...
Femme de Lapalisse, femme dans laquelle on glisse...
Femme de St-Pourçain, dans ta bouche tu gouteras ses seins...
Femme de Charolles te filera sa vérole...
Femme de la Guiche, pour un rien s'aguiche...
Femme de la Valette, te montrera za zézette...
Femme de Malbuisson, aime se faire ramoner le buisson...
Femme de Champagnole, suce à l'arrière des bagnoles...
Femme de Gourdon, te filera le gourdin, un vrai bâton et c'est ça qui est bien...


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  • : Sans blog !?!
  • : Une quintessence de futilité ambiante avec des reminiscences variables de secousses telluriques, atmosphériques, éthyliques...
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