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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 13:31
Je me réveille en pleine nuit. Il est tard ou tôt ou peut-être bien l'inverse. J'ai fait un rêve stressant qui m'a sorti de mon sommeil. J'ai la gorge sèche. Je me lève. Je vais me prendre un verre d'eau dans ma cuisine. En passant par le couloir, la porte de la chambre d'Elena est entrebaillée. Elena est ma colocataire polonaise. Habituellement elle se couche tôt car elle est éreintée par ses journées de formation à l'Ecole Nationale de Plomberie. Je pense alors qu'elle s'est endormie en oubliant de couper sa lumière et je me décide d'aller lui éteindre.

En arrivant à hauteur de la porte, je la devine, animée sur son lit. Je me fige. Elle n'est pas endormie. Elle est allongée sur le dos, les yeux clos, une main entre ses jambes qui s'active dans sa culotte. J'ai une sueur froide en même temps qu'un sentiment de ravissement. Je ne peux rester là. Mais en voulant faire un pas, le parquet craque sous mon pied. Je reste donc immobile en décidant de la regarder prendre le sien. Elena a la main droite sur son sexe et l'autre qui voyage de son ventre à la base de ses petits seins. C'est la première fois que je la vois nue. C'est à chaque fois un petit choc de découvrir une beautée cachée.

Quelques souffles légers parviennent à mes oreilles. Un son d'une douceur apasainte avec la satisfaction d'entendre ses soupirs dans le gosier d'une fille. Elle se pince le téton d'un sein en se mordant les lèvres. Elle resdescend en caressant l'intérieur de ses cuisses moelleuses alors que l'autre main fouille toujours le sexe. A un moment, elle sort ses doigts de son étau humide et les porte à sa bouche puis se délecte de son propre goût.  Soudain, Elena se redresse, s'assied sur le lit. Elle ne m'a pas vu. Elle fouille dans une trousse et en extrait une ogive argentée. Un joli godemichet tout en fuselage.

Elle se rallonge, retire sa culotte, replie ses jambes, les raprochant de ses fesses et referme les yeux. J'ai une vue imprenable sur son publis taillé en forme de point d'exclamation! Elle descend sa main gauche en effleurant ses poils puis vient exciter son clito. Le faisant rouler entre ses doigts. En appliquant la pulpe de la troisième phalange de son index sur le bonbon rouge, elle lâche quelques brâmes de satisfaction qui ne sont pas pour me déplaire. La vision renforce mon excitation. Je commence à bander dans mon caleçon.

Elle saisit alors son totem électrique, enclenche le vibreur et applique l'objet au même endroit, ce qui fait réagir son bassin. Elle se masse le clitoris avec ce vibromasseur qui émet le même son régulier que ma tondeuse à cheveux. Après deux minutes d'un tel traitement et quelques soupirs plus appuyés que d'autres, elle écarte les lèvres de son sexe à l'aide de deux doigts et fait pénétrer le gode en elle, accompagnant le geste d'un soubresaut de son bassin et d'un petit cri plus fort que les autres. Je bande carrément à présent.

Elle enfonce l'objet en accompagnement chaque poussée d'ondulations de son petit cul et de ses hanches. Elle souffle de manière rapide. Elle halète, elle gémit. "A quoi peut penser une fille dans ces moments-là?". L'objet, à présent, a pris possession de son sexe et y circule librement et largement, allant et venant, sous les tréssautements de la belle. Elle pousse des gémissements longs et saccadés. Son autre main a repris position sur son bouton rosé tandis que l'instrument la fait vibrer de partout. Ses cris emplissent l'espace sonore.

Elle meugle, elle miaule par instants, elle rugit aussi. Tout son bassin est en mouvement et accompagne le geste pour aller à la rencontre de l'objet à chacune de ses pénétrations. Elle braille, elle tonne, elle beugle. Puis pendant un bref instant, le silence se fait, elle a levé son bassin, contracté ses cuisses et lâche un gémissement puissant, comme si elle se relachait entièrement, avec pertes et fracas. L'explosion est belle à voir. Elle pousse des cris en cascade, se déchaîne une dernière sur le sexe puis arrête son geste. Elle souffle, fait des bruits avec sa gorge. Son visage aux yeux toujours fermés exprime la sérénité, le soulagement, l'apaisement.

Dans un dernier soubresaut, elle vocifère une dernière fois, laissant l'objet en elle et faisant retomber ses mains le long du corps. Elle semble éteinte à présent, assoupie, presque morte. Seuls quelques sons, signe de son essouflement, nous rassurent sur son statut de vivante. Je peux voir des gouttes de sueur perler sur son front et sur son ventre. Les petits poils de son bras sont hérissés. Elle a tourné la tête sur le côté, la mettant de profil sur son oreiller... Je décide alors de m'en aller comme un voyou, la queue entre les jambes. Oui, mais la queue au garde à vous...

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