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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 09:25

J'ai envie que 2011 soit différent mais pas indifférent, parce sinon, c'est juste pas possible...

Alors je compte sur toi Sylvestre, père Noël du Nouvel An de l'Epiphanie, pour être imaginatif, novateur et aventurier en me proposant de nouveaux sentiers, et plus les éternels chemins enneigés que je me suis tapé depuis des années. Voila, je t'en serai reconnaissant et pas vraiment, puisque de toute façon, je t'emmerde, sans contrefaçon... En attendant allons donc tirer les rois ; à défaut d'attendre une reine, je vais plutôt me faire une pizza... Je vous embrasse pas, je sens encore le vomi...

 

 

 

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 22:09

Ce qui nous attend en deux mille onze...

 

1er janvier : Entrée de l'Estonie dans la zone euro.

4 janvier : Éclipse solaire partielle en Europe.

13 au 31 janvier : Championnat du monde de handball masculin 2011 en Suède.

28 janvier : Sortie de la Nintendo 3DS au Japon.

19 février : Coupe du monde de cricket en Inde, au Sri Lanka et au Bangladesh.

27 février : Cérémonie des Oscars

10 mars : Retour prévu de la mission spatiale STS-134 qui sera la dernière d'une navette spatiale américaine.

18 avril : Inauguration du tramway de Reims.

29 avril : Mariage du Prince William et de Kate Middleton.

Du 11 au 22 mai : 64e Festival de Cannes.

1er juin : Éclipse solaire partielle

15 juin : Éclipse lunaire totale

2 juillet : Le Tour de France 2011 part de Vendée.

2 et 3 juillet : Mariage du Prince Albert II de Monaco et de Charlene Wittstock.

13 juillet : Sortie au cinéma du dernier épisode de la saga Harry Potter.

5-14 août : Festival interceltique de Lorient.

9 septembre : Ouverture de la Coupe du monde de rugby à XV 2011 en Nouvelle-Zélande.

6-9 octobre : 22e festival international de géographie de Saint-Dié.

30 novembre : France : extinction définitive du signal analogique au profit de la télévision numérique terrestre.

11 décembre : France : mise en service de la LGV Rhin-Rhône

 

Bref, que du bonheur...

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 21:37

Maceo Parker est un saxophoniste alto et compositeur de funk et de soul jazz.

Maceo naît le 14 février 1943 à Kinston (Caroline du Nord) dans une famille de musiciens : ses parents chantent dans une chorale d'église et ses deux frères Melvin et Kellis jouaient de la batterie et du trombone. Grâce à leur oncle (leader du groupe Blue Notes), les trois fils Parker montent un groupe et jouent dans les night-clubs.

En 1964, James Brown recherche un batteur pour son groupe et auditionne le frère de Maceo, Melvin. James Brown est séduit par Melvin et engage les deux frères sur l'insistance de Melvin. Il jouera pendant 25 ans aux côtés du godfather en contribuant aux plus grands tubes avec son saxophone et sa créativité.

Usé par un James Brown très autoritaire et exigeant, il décide d'entamer sa carrière solo en compagnie de The JB's Horns, Fred Wesley & The Horny Horn, et de Funkadelic. Il est en 1977 le leader des sections rythmiques de George Clinton et de Bootsy Collins.

Il commence réellement sa carrière en tant que leader en 1990, avec son album Roots revisited.

Maceo rejoint le groupe de Prince depuis l'année 2000, et participe à ses tournées.

Il est un homme de scène qui joue 250 concerts par an, avec un spectacle durant plus de 2 heures et demi.

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 16:20

Michel Poiccard, jeune homme insolent mêlé au milieu de délinquants, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.

Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connait depuis peu —, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.

Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.

Celui-ci rencontre plusieurs amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'entre eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille de leur départ présumé pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à partir loin d'elle. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première, « à bout de souffle ».

Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :

— « C'est vraiment dégueulasse. »

N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :

— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »

À quoi on lui répond :

— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »

— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 15:08

Non. Je ne manque nulle part, je ne laisse pas de vide. Les métros sont bondés, les restaurants comblés, les têtes bourrées à craquer de petits soucis. J'ai glissé hors du monde et il est resté plein. Comme un œuf. Il faut croire que je n'étais pas indispensable. J'aurais voulu être indispensable. A quelque chose ou à quelqu'un. A propos, je t'aimais. Je te le dis à présent parce que ça n'a plus d'importance...

 

  
 
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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 14:57

Pour aimer, il faudrait croire à la vie. Mais le temps n'existe pas, il est tout décousu. Vivre est factice, l'existence est en lambeaux. Les impressions nous traversent, fugitives et insaisissables. Nous n'avons plus la force de les retenir ni par conséquent de les comparer : celle d'hier contraste avec celle d'aujourd'hui, et personne ne s'en aperçoit. Les extrêmes se touchent et se suivent : à la fièvre l'ennui succède, à la passion le détachement, à l'amour l'indifférence. Tout cède sous le poids de l'instant, le présent croule en une poussière d'insignifiance. Il n'y a pas d'avenir. Tout revient au même.

 

Ce qui empêche tout, c'est la peur. Pourquoi avons-nous tellement peur de l'amour ? L'amour est censé nous construire, nous aider, nous élever, nous grandir et nous agrandir. Un enfant sans amour est un enfant perdu, on nous l'a assez dit. Alors pourquoi l'éprouvons-nous comme une telle menace ? Pourquoi faut-il tant de courage ou d'imprudence pour aller dans l'amour ? Personne n'y va - ou avec une telle angoisse au cœur qu'on se demande si le jeu en vaut la chandelle. Regardez-les, nos poètes, nos amoureux, regardez-les dans leur vie : l'amour les empêche de respirer, les étouffe, les déçoit, les détrompe, les détruit.

 

"Ne pensons pas, rêvons. Laissons faire à leur guise le bonheur qui s'enfuit et l'amour qui s'épuise."

 

Vous savez, je me demande toujours si cet homme m'a aimée. Vous me trouvez sans doute bien naïve, trop sentimentale - les hommes sont tellement surpris de voir le temps que les femmes consacrent à l'amour, à l'idée de l'amour. Mais les femmes, sachez-le, s'étonnent du temps que perdent les hommes en choses plus vaines, en vanité. Car c'est tout de même une grande énigme, l'amour, son commencement, sa fin. On ne peut pas passer ça par profits et pertes, juste solder les comptes, dire " je me comprends ". J'étais là, je me répétais sans cesse : qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi ne m'aime-t-il plus ? J'étais la même, pourtant, je ne m'étais pas changée en sorcière, en vipère, en pou. Alors quoi ? Alors quoi ? En général, il ne voulait pas parler. Sauf une fois, peu avant la fin, il venait de me répéter brutalement que " ça ne marchait pas " - enfin, tu vois bien que ça ne marche pas ! c'était sa phrase -, je l'ai pris au vol, j'ai dit : oui, je vois bien, mais je ne vois pas pourquoi. Dis-moi pourquoi. Il m'a regardée, il a eu un petit reniflement : ça ne marche pas parce que tu es toi. Mais au début, j'ai dit, au début, ça marchait aussi parce que j'étais moi, non ? Tu m'aimais parce que j'étais moi, non ?

Ça doit être aussi pour ça que je suis restée : quelque chose m'échappait. Et je voulais comprendre, saisir - le saisir. Y penser toujours a été ma manière de ne pas en mourir. La quête d'un sens mon antidote à la folie.

 

Elle se met dont à déchiffrer sans relâche tous les signes. Elle n'a plus qu'un seul but, qui l'occupe et la remplit : comprendre cet homme. Éclairer ses actes, ses refus, ses contradictions. Donner un sens à l'insensé. Trouver ce qui cloche, ce qui bloque, ce qui empêche, ce qui tue.

 

"Il doit y avoir un livre qui vous sauve la vie, qui vous sauve la mise, au moins un moment, qui donne un sens à ce qui n'en a pas. Il faut le trouver, il faut le chercher, espérer qu'il a déjà été écrit."

 

Elle commence par les livres, parce que chez elle c'est compulsif : quand elle va mal, elle lit, comme d'autres fument, boivent ou mangent. La lecture est sa nourriture, son alcool, sa drogue. Les mots sont un pansement, les mots calment son angoisse. Elle éprouve à l'égard de la langue un besoin impérieux, ce ne sont pas des impressions qui entrent en elle, ni des sentiments, non : c'est du sens qui la pénètre et circule en elle pour lui donner vie, c'est du sang dans les veines. Elle ne demande pas aux livres de la bercer, de l'endormir ou de la distraire, mais de l'aider à percer le mystère, à voir plus clair ; elle ne cherche pas l'oubli, elle cherche la mémoire et la cause, le secret des choses.

 

texte : Camille Laurens - Ni toi ni moi

 

"J'ai pensé toute la journée à votre message de l'autre jour, celui où vous me traitez d'obsédée du sens. "Pourquoi ne pas vous laisser plutôt aller à vos sens ? m'écrivez-vous. Jouir simplement de ce qui se présente à eux, cela pourrait être une solution. Croire vos yeux. Accepter le cinéma." Effectivement, j'ai toujours eu du mal avec les films où l'on ne comprend pas bien ce qui se passe. Dans Voyage en Italie, par exemple, on ne sait pas pourquoi ce couple ne s'entend plus, ce qui les sépare vraiment, ce qui les liait. Il y a un mystère, on vous le montre, à vous de le déchiffrer. On le voit, mais on ne le comprend pas. Les choses changent sans raison, le film avance comme par miracle ou par hasard. J'ai besoin du sens, c'est vrai, j'ai tellement besoin de comprendre ! Je suis comme une enfant butée : je veux qu'on m'explique. Sinon j'ai peur, j'ai mal. Je suis prête à accepter des explications complexes, des raisonnements subtils, je n'attends pas qu'on me délivre une vérité bétonnée, je veux bien soulever des couches de sens sur l'oignon du visible. Mais ne me dites pas : c'est comme ça."

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 14:44

On me demande quelquefois ce que j'aurais pu faire pour causer moins de douleur et permettre à l'amour d'exister, au lieu de le détruire, et celle qui m'en témoignait. Des amis croient me délivrer d'en répondre par l'excuse de la malchance : c'est, disent-ils, que l'objet élu ne me convenait pas, que cette femme avait quelque chose d'insupportable pour moi, et qu'il me faut seulement, sans regret et sans honte, attendre de croiser enfin celle que je vais aimer et qui va me combler. Ils louent la clarté de mon intelligence, la finesse de mes analyses, et ne doutent pas que ces qualités soient un jour reconnues par une femme capable, sans la blesser ni en être blessée, de compléter mon âme.

  

Ces amis se trompent, sauf sur un point : j'ai assez d'esprit, en effet, pour mesurer toute l'étendue de ma misère, et les abîmes de mon cœur. Toute la raison dont je dispose me dispense une unique leçon : c'est que cet esprit, dont on est si fier, ne sert ni à trouver le bonheur ni à en donner. La force du sentiment est un don qu'il faut demander au ciel, et la métaphysique la plus ingénieuse ne justifie pas l'homme qui, faute de le posséder, a déchiré le cœur qui l'aimait. Je hais cette faiblesse qui s'en prend toujours aux autres de sa propre impuissance, et qui ne voit pas que le mal n'est point dans ses alentours, mais qu'il est en elle. Je hais cette fatuité qui, toujours déçue de ses conquêtes et les chargeant de tous les torts, plane indestructible au-dessus des ruines, causes à l'échec de l'amour dans ma vie. Les circonstances sont pourtant bien peu de choses, le caractère est tout : c'est en vain qu'on brise avec les objets et les êtres extérieurs ; on ne saurait briser avec soi-même. On change de situation, on s'éprend d'une autre femme, mais on transporte dans chacune le tourment dont on espérait se délivrer, et comme on ne se corrige pas en se déplaçant, l'on se trouve seulement avoir ajouté des remords aux regrets et des fautes aux souffrances.

 

Les choses pourraient-elles en aller autrement ? Je l'ignore. Un infirme marchera-t-il à jamais ? Je connais l'étonnement douloureux avec lequel une femme s'aperçoit qu'elle n'est plus aimée, l'effroi qui la saisit quand elle se voit délaissée par celui qui jurait de l'adorer toujours ; je connais cette estime refoulée sur elle-même, et qui ne sait plus où se placer, cette défiance qui succède à une si entière confiance et qui, forcée de se diriger contre l'être qu'elle élevait au-dessus de tout, s'étend par là même au reste du monde. Que lui dire quand elle se demande quel mot, quel geste a manqué au bonheur ? Que lui répondre lorsqu'elle cherche encore des moyens d'y parvenir, et qu'elle attend de moi un signe que je ne ferai pas ?

Lumière est ce que je touche, charbon tout ce que je quitte. Il n'y a rien qui puisse être fait pour le bonheur de la vie avec des hommes tels que moi : ce qu'il faut, c'est ne pas les rencontrer.

 

Il semblerait que les hommes aiment les femmes absentes, silencieuses, merveilleuses, disparues, mortes. Qu'il n'aiment que de loin - loin des yeux, près du cœur ? Quand elles s'approchent, les bras leur en tombent.

Aimer une femme autrement qu'en rêve, en photo, en souvenir, en lettres d'or. L'aimer en vrai, en aimer une, l'aimer, elle. Est-ce que c'est trop demander ? Aimer une femme, est-ce que c'est possible ?

 

texte : Camille Laurens - Ni toi ni moi

 

"Il n'y a rien qui puisse être fait pour le bonheur de la vie avec des hommes tels que moi : ce qu'il faut, c'est ne pas les rencontrer." 

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 12:20

Je ne T'aime plus

Mon amour

Je ne T'aime plus

Tous les jours

Parfois J'aimerais mourir

Tellement J'ai voulu croire

Parfois J'aimerais mourir

Pour ne plus rien avoir

Parfois J'aimerais mourir

Pour plus jamais te voir

Je ne T'aime plus

Mon Amour

Je ne T'aime plus

Tous les jours

Parfois J'aimerais mourir

Tellement Y a plus D'espoir

Parfois J'aimerais mourir

Pour plus jamais te revoir

Parfois J'aimerais mourir

Pour ne plus rien savoir

Je ne T'aime plus

Mon amour

Je ne T'aime plus

Tous les jours...

 

 

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 11:00

J'ai perdu ton joli goût ma chère

Cette nuit sous les étoiles

Et je ne sais plus trop quoi faire

Je me sens seul, je me sens sale

Et ça me fout un peu en l'air

D'être bon que pour les râles

Titubant sous les réverbères

Qui me rendent encore plus pâle

Toute la nuit bière sur bière

A la recherche d'un animal

Qui se laisserait faire

Pour qui ce serait égal

D'avoir un homme droit et fier

Ou un qui s'étale

Et qui jure contre la terre

Et la mer et les étoiles

Sans un regret, sans un adieu

Sans un soupir, sans un remords

J'ai perdu le goût de la chair

Cette nuit après le bal

Et ça me fout le cul par terre

Dans les endroits un peu sales

Qui sentent si bon la bière

La bonne chaleur de l'animal

Qui se demande qui a salé la mer

Qui a sali la terre, ça t'est égal

Sans un regret, sans un adieu

Sans un soupir, sans un remords

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 10:39
Non, ma vie c'est pas l'Amérique. Ce serait plutôt la bérézina, du nom de cette marécageuse défaite napoléonienne.
Ma vie en 2010 a été néanmoins vachement moins bien qu'en 2011, heureusement.
Et puis, surtout j'adore cette chanson, duo entre David Bowie & Pat Metheny, alors ce que je pense de ma vie...
J'aime bien cette mélancolie douce, cette mélodie qui m'entraîne dans un peu de spleen encore certes, mais du spleen tout doux, du soupline, quoi...
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